Dans le magazine du Monde paru cet été, Vincent Ravalec raconte son parcours de primo-accédant. Ou comment un auteur de polar tourne en dérision le petit monde de l’immobilier.
C’est en découvrant que le montant de sa retraite, soit 6,50 € par mois, que Vincent Ravalec, auteur notamment de Cantique de la racaille, décide de devenir propriétaire. Renonçant à trouver un bien à Paris, le romancier s’intéresse à une GVF, à savoir une Grande Ville Française. Après avoir été déçu par la loi Scellier désormais moribonde, Ravalec – qui prend ici le nom de Pèpère – rêve à une maison qu’il pourrait louer à d’aimables étudiantes.
Brocardant les témoignages exaltés de nouveaux propriétaires trentenaires repérés dans la presse, le romancier a l’art et la manière de dépeindre cette quête parfois obsédante de la bonne affaire. Mais quelle est donc cette GVF ?
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